Act NOW!
Save the life of Farzad Kamangar
Please join with the thousands of trade unionists and human rights defenders around the world who are mobilising in defence of Farzad Kamangar, an Iranian Kurdish teacher and trade unionist who is at risk of execution.
Education International received information from reliable sources that on 26 November Kamangar was taken from his cell 121 in ward 209 of Tehran's Evin prison in preparation for execution by hanging. However, the latest information is that he is still alive and was able to meet with his lawyer on 27 November for the first time in over two months. His situation remains precarious nonetheless.
Kamangar, aged 33, was sentenced to death by the Iranian Revolutionary Court on 25 February 2008 after a trial which took place in secret, lasted only minutes, and failed to meet Iranian and international standards of fairness. His lawyer, Kahlil Bahramian, said: "Nothing in Kamangar's judicial files and records demonstrates any links to the charges brought against him." Indeed, Kamangar was initially cleared of all charges during the investigation process.
Education International, the International Trade Union Confederation, the International Transport Workers Federation, Amnesty International and LabourStart are appealing to the Iranian authorities to commute the death sentence and ensure his case is reviewed fairly.
Iran : Sauvons la vie de Farzad Kamangar
http://www.labourstart.org/cgi-bin/solidarityforever/show_campaign.cgi?c=455Education Internationale a reçu de sources fiables l’information que Farzad Kamangar, un jeune enseignant kurde iranien de 33 ans, condamné à mort pour ses activités syndicales, a été emmené, le 26 novembre, de sa cellule 121 à la salle 209 de l’infâme prison d'Evin de Téhéran en préparation de son exécution. Cependant, selon la plus récente information, il serait toujours en vie et a pu rencontrer son avocat le 27 novembre pour la première fois depuis plus de deux mois. Sa situation demeure néanmoins périlleuse.
Kamangar a été condamné à mort par la cour révolutionnaire iranienne le 25 février 2008 lors d’un simulacre de procès à huis clos tenu en quelques minutes dans un total irrespect des normes iraniennes et internationales d’équité. Son avocat, Kahlil Bahramian, estime "qu'il n’y a rien dans le dossier ni dans les actes d’accusation qui démontre le moindre lien entre Kamangar et les accusations portées contre lui". La phase d’instruction du procès a même conclu à l’absence de preuves à son encontre.
Education Internationale, la Confédération Syndicale Internationale, la Fédération Internationale des Ouvriers du Transport internationaux, Amnesty International et LabourStart appellent les autorités iraniennes à commuer la peine de mort et à ordonner une révision de son procès.
Pour sauver Farzad Kamangar de la pendaison, il faut que des dizaines de milliers de syndicalistes interpellent les autorités iraniennes. Les travailleurs de ce pays doivent pouvoir bénéficier des droits de l’homme, et notamment celui de se syndiquer, sans crainte ni inquiétude.
